mercredi 30 novembre 2011
lundi 28 novembre 2011
Détournement d’objets par Suzy Lelièvre
Une approche de l’objet bien à part
L’artiste française Suzy Lelievre, basée à Paris, transforme les objets du quotidien en forme incongrue. Elle s’approprie et métamorphose tous les éléments de la domesticité, le plus humble outil prend, chez elle, des voies de traverse. Adepte de la dérive et du détournement poétique, cette artiste s’inscrit dans la lignée d’Erwin Wurm ou de Frank Scurti. Elle interprète à sa manière l’avenir de ces objets qui, parfois, ne restent qu’au stade de projet virtuel.Boutique Indulgi par Nendo -Un labyrinthe de portes
L’agence de design Nendo a conçu l’intérieur pour Indulgi, un petit magasin de vêtements à Kyoto dans le quartier kakako . Des fausses portes avec des miroirs disposés un peu partout, formant un labyrinthe, forçant les clients à explorer l’espace intérieur pour découvrir tous les produits qu’Indulgi peut offrir. L’expérience sur l’espace est renforcée par la variation de couleurs et de textures du magasin.
Les designers ont voulu créer un espace que l’on ne peut jamais voir en entier, celui dans lequel de différents éléments apparaissent et disparaissent, changeant l’expérience des clients du magasin. Un magasin où l’on peut mélanger l’expression « se prendre une porte » et « se prendre une veste ».
Les designers ont voulu créer un espace que l’on ne peut jamais voir en entier, celui dans lequel de différents éléments apparaissent et disparaissent, changeant l’expérience des clients du magasin. Un magasin où l’on peut mélanger l’expression « se prendre une porte » et « se prendre une veste ».
Mikakure chair par Koki Yoshida
Le designer Koki Yoshida basé à Tokyo, a créé la chaise de ‘mikakure’. C’est une série de chaises qui peuvent, soit s’emboiter entre elles, soit être indépendantes. La jonction des chaises se fait sur les côtés de celle-ci, joignant solidement les deux chaises entre elles.Renforçant aussi l’effet visuel des lignes obliques noires et blanches, donnant l’impression que le meuble est penché. Une oeuvre qui se rapproche beaucoup du concept du pixel art. La « Mikakure » a été présentée durant la tokyo designers week 2011.
Appareil photo par Jason Hull
L’artiste Jason Hull recycle des vieux appareils photos des années 1950 à 1960, pour en faire des lampes murales. Une idée simple mais efficace, qui donne une seconde vie à ces vieux appareils photos, qui ont jadis, immortalisé nos souvenirs.Petite anecdote, Jason Hull n’utilise que des boitiers d’appareils photos ne fonctionnant plus. Des lampes qui feront sourire plus d’une personne, « souriez, on allume »…
.Cherry tree par Tom Price
Le designer britannique Tom Price a fait un bosquet enchanté de cerisiers fait de tubes en plastique. Les cerisiers ont occupé une pièce entière à Industry Gallery à Washington D.C le mois dernier, lançant des ombres délicates sur les murs environnants. Il a utilisé des outils spéciaux pour chauffer les tuyaux en plastique pour qu’il puissent se plier et se tordre dans la forme désirée. Des câbles en acier maintiennent les paquets de tuyaux ensembles, formant des troncs et des branches. Le designer a coupé puis collé des petites sections de tubes pour former une canopée qui crée une lumière tachetée et tamisée. Une oeuvre très poétique inspirée du Japon au pays de l’oncle Sam.
Campagne marketing par Urban Barn
Le vendeur de meuble canadien Urbain Barn à lancer une campagne de street marketing, street ambiant, pour attirer les consommateurs dans sa chaîne de magasins. Ils font appel pour cette campagne à l’agence Spring, qui imagine pour mener cette guerre, de présenter l’avantage de Urban Barn: acheter les meubles déjà montés.Pour cela, l’agence Spring remplace différents éléments du mobilier urbain de Vancouver par des cartons, avec l’élément déssiné dessus et une phrase d’accroche « C’est mieux déjà monté ». C’est vrai que d’avoir les meubles déjà montés ça enlève une belle épine du pied
mercredi 9 novembre 2011
Rétrospective Maurizio Cattelan au Guggenheim de New York
Jusqu'au 22 Janvier 2012
.L’artiste italien Maurizio Cattelan pose ses valises au Guggenheim de New York, ville où il vit et travaille depuis des années. Il est considéré comme l’un des artistes contemporains le plus provocateur de notre époque, un surréaliste du troisième millénaire et un réel agitateur de conscience.
Son travail controversé s’appuie sur la culture populaire, l’histoire et la religion. Sa critique culturelle s’exprime à travers des sculptures hyperréalistes, sa pratique artistique étant alimentée par son enfance rythmée des difficultés financières à la maison, des punitions à l’école et de multiples petits boulots. Son installation dans la célèbre rotonde du musée est fascinante
--> http://www.guggenheim.org/new-york/exhibitions/on-view/maurizio-cattelan-all
.L’artiste italien Maurizio Cattelan pose ses valises au Guggenheim de New York, ville où il vit et travaille depuis des années. Il est considéré comme l’un des artistes contemporains le plus provocateur de notre époque, un surréaliste du troisième millénaire et un réel agitateur de conscience.
Son travail controversé s’appuie sur la culture populaire, l’histoire et la religion. Sa critique culturelle s’exprime à travers des sculptures hyperréalistes, sa pratique artistique étant alimentée par son enfance rythmée des difficultés financières à la maison, des punitions à l’école et de multiples petits boulots. Son installation dans la célèbre rotonde du musée est fascinante
--> http://www.guggenheim.org/new-york/exhibitions/on-view/maurizio-cattelan-all
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